Au rayon des professions rendues pénibles en ces temps pandémiques, on pense infirmières, restaurateurs, musiciens, politiciennes même. Ce serait oublier les influenceurs. Qui n’avaient certainement pas signé pour la déferlante de haine de ces dernières semaines: ils sont nombreux à avoir vu leurs réseaux inondés de commentaires outrés. Tout ça parce qu’ils se sont exilés à Dubaï, en pleine crise sanitaire mondiale.

Plus glamour…

Mais quoi de plus logique? Alors que le reste du monde croupit sous la grisaille et l’ennui, aux Emirats arabes unis, on pouvait jusqu’à peu dorer son derme de confiné en terrasse – plus glamour, comme story. Un asile turquoise qui accueillait quelque 500 000 touristes cet hiver et où, surprise, les cas de Covid-19 ont quadruplé.