Publié par CEMO Centre - Paris
ad a b
ad ad ad

L'Iran viole les résolutions de l'ONU en soutenant les Houthis par des armes

mercredi 03/février/2021 - 06:33
La Reference
طباعة

  Le rôle de l'Iran au Yémen continue toujours de faire surface, provoquant une vague de préoccupation pour la communauté internationale, vu que Téhéran continue de violer l'ensemble des décisions et des résolutions prises par les Etats-Unis et les Nations Unies pour l'interdiction des armes et du soutien aux groupes terroristes au Yémen, principalement la milice terroriste houthie qui menace la sécurité et la stabilité de ce pays arabe. 

  Des armes de toutes sortes continuent d'affluer vers les Houthis, ce qui a détérioré la situation au Yémen et constitué des conséquences désastreuses pour les citoyens, car un comité d'experts des Nations Unies a confirmé l'implication de Téhéran dans l'envoi d'armes aux Houthis, ce qui viole les résolutions de l'ONU.

  Téhéran utilise la milice terroriste Houthie au Yémen pour y réaliser ses objectifs, et continue de lui fournir des armes, que la milice  utilise pour frapper les pays voisins, en particulier l'Arabie Saoudite, ce qui constitue une menace pour la sécurité de la région. 

  Un rapport d'un comité d'experts des Nations Unies a révélé que l'Iran envoie toujours des armes et des missiles pour soutenir les Houthis au Yémen, un pays déchiré la guerre civile. 

  Les éléments de preuve du comité d'experts qui a soumis son rapport au Conseil de sécurité ont montré que des individus et des entités de l'intérieur de l'Iran sont impliqués dans l'envoi d'armes aux Houthis, en violation des résolutions des Nations Unies. Les éléments de preuve obtenus par le comité d'experts comprennent des missiles antichar des lance-roquêtes et autres armes de fabrication iranienne. 

  Washington a imposé des sanctions aux Houthis pendant l'administration de Donald Trump et les a considérés comme une organisation terroriste en raison du soutien qu'ils reçoivent de l'Iran. Et quant à l'actuelle administration de Joe Biden, elle a adopté une approche différente dans le traitement de ce dossier, certaines sanctions liées à cette classification ayant été suspendues jusqu'au 26 février.

"