Le monde arabe est toujours confronté à des défis sécuritaires, économiques et sociaux (LEA)
vendredi 25/décembre/2020 - 12:42
Le monde arabe est toujours confronté à des défis aux niveaux sécuritaire, économique et social, qui s'ajoutent à la pandémie de coronavirus qui pèse non seulement sur le monde arabe mais aussi le monde entier, a dit Haifaa Abou Ghazala, secrétaire générale adjointe de la Ligue arabe (LEA) et présidente du département des affaires sociales de la LEA.
Plus de dix mois après le début de cette crise, les gouvernements ont constaté que les solutions sanitaires ne sont pas seules capables d'aider les pays à relancer le développement et à maintenir la stabilité à long terme, surtout que de nombreux pays de la région souffrent de conditions de vie difficiles à cause des conflits avant la pandémie, a-t-elle expliqué dans une allocution prononcée devant la 2e session du Conseil arabe pour les populations et le développement, qui a démarré lundi.
La pandémie de coronavirus a dévoilé le dysfonctionnement dans les systèmes de santé et dans le développement en général, selon Mme Abou Ghazala qui a rappelé que les gouvernements ont travaillé, au niveau national, à remédier à la détérioration de la situation sanitaire indépendamment des répercussions économiques et sociales qui en résultent.
Il s'est avéré, durant la période écoulée, que les solutions doivent être obtenues avec la participation de tous les secteurs. Aucune personne ni aucune autorité ne peuvent réussir seules à remédier aux questions et aux défis les plus simples, sans compter une nouvelle pandémie, a-t-elle signalé.
Selon Mme Abou Ghazala, le secrétariat général de la LE a travaillé sans cesse dans des conditions exceptionnelles avec la tenue par ses conseils ministériels de réunions d'urgence, dont le Conseil arabe pour les populations et le développement.
La création du Conseil arabe pour les populations et le développement dans ces circonstances, précise-t-elle, est une opportunité pour les pays de renforcer le rôle des conseils et des comités nationaux de la population
Plus de dix mois après le début de cette crise, les gouvernements ont constaté que les solutions sanitaires ne sont pas seules capables d'aider les pays à relancer le développement et à maintenir la stabilité à long terme, surtout que de nombreux pays de la région souffrent de conditions de vie difficiles à cause des conflits avant la pandémie, a-t-elle expliqué dans une allocution prononcée devant la 2e session du Conseil arabe pour les populations et le développement, qui a démarré lundi.
La pandémie de coronavirus a dévoilé le dysfonctionnement dans les systèmes de santé et dans le développement en général, selon Mme Abou Ghazala qui a rappelé que les gouvernements ont travaillé, au niveau national, à remédier à la détérioration de la situation sanitaire indépendamment des répercussions économiques et sociales qui en résultent.
Il s'est avéré, durant la période écoulée, que les solutions doivent être obtenues avec la participation de tous les secteurs. Aucune personne ni aucune autorité ne peuvent réussir seules à remédier aux questions et aux défis les plus simples, sans compter une nouvelle pandémie, a-t-elle signalé.
Selon Mme Abou Ghazala, le secrétariat général de la LE a travaillé sans cesse dans des conditions exceptionnelles avec la tenue par ses conseils ministériels de réunions d'urgence, dont le Conseil arabe pour les populations et le développement.
La création du Conseil arabe pour les populations et le développement dans ces circonstances, précise-t-elle, est une opportunité pour les pays de renforcer le rôle des conseils et des comités nationaux de la population