Des rapports sur les droits de l'Homme dénoncent les violations des droits des travailleurs migrants par le Qatar
L'émirat qui scande toujours le slogan de la défense des droits de l'Homme, seulement lorsqu'il s'agit des droits des terroristes qu'il parraine, au point que certains chercheurs l'appellent "l'émirat du terrorisme", répand des flèches de haine, de violence et de terreur non seulement dans son environnement régional, mais également dans la plupart des zones géographiques du globe terrestre, et est considéré comme le premier parrain des groupes de violence politique.
Mais à travers sa trompette médiatique, "la chaîne TV Al-Jazeera" il se permet paradoxalement de faire l'éloge des droits de l'Homme jusqu'à ce que certaines organisations de défense des droits de l'Homme aient enfin révélé le visage laid de cet émirat dans le dossier des droits de l'Homme.
Le Qatar n'arrête point les différentes violations des droits de l'Homme à tous les niveaux, en commençant par la révocation de la nationalité des citoyens qataris, en particulier ceux qui sont opposés au régime et les membres des tribus qui s'opposent à la politique terroriste du Qatar, en passant par les demandeurs d'asile et les apatrides, et allant jusqu'aux femmes qui font l'objet de plusieurs abus, malgré les nouvelles lois et réglementations visant à mieux protéger les droits.
La question ne se limite pas à cela, mais s'étend aux travailleurs expatriés, vu que le Qatar insiste à violer les lois et règlements régissant ces travailleurs. Et récemment, la crise du Covid-19 a révélé d'autres violations venant s'ajouter aux précédentes, contre ces travailleurs migrants. Tout comme un rapport américain de 2019 a dévoilé l'existence des violations des droits de l'Homme au Qatar, en particulier en ce qui concerne les travailleurs migrants et les non-citoyens.