Publié par CEMO Centre - Paris
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Le CEMO demande à la nouvelle administration américaine d’interdire les Frères musulmans pour en finir avec le terrorisme

mercredi 04/novembre/2020 - 02:38
La Reference
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Le CEMO à Paris présidé par Abdelrahim Ali a demandé à la nouvelle administration américaine qui dirigera les Etats-Unis pendant les quatre années à venir d’interdire le groupe des Frères musulmans, en le considérant comme une organisation terroriste, et de surveiller ses activités pour liquider le terrorisme et l’extrémisme.

Le Centre a affirmé dans un communiqué que les opérations terroristes qui se produisent en Europe et qui pourraient gagner l’Amérique ont pour cause le laxisme dans cette affaire et le refus d’interdire le Groupe des Frères jusqu’à maintenant, voire le fait de permettre à ses associations de recevoir des fonds de façon officielle, et d’avoir des activités dans les lieux où habitent Arabes, Africains et musulmans, en particulier ceux qui souffrent de difficultés économiques et sociales. Et cela malgré les avertissements répétés du Centre et de nombreux pays dont l’Egypte et les Emirats.

Il a ajouté que, quels que soient les résultats des élections américaines, l’occupant de la Maison Blanche doit consentir des efforts avec les autres pays pour débarrasser le monde du terrorisme, de l’extrémisme et des meurtres de citoyens innocents par des éléments extrémistes, et arrêter la propagation de la haine.

Le Centre a expliqué que les pays européens et en particulier la France, n’ont pas écouté les avertissements nombreux relatifs au danger du fait d’héberger des associations dépendant du groupe des Frères sous le nom d’Union des associations islamiques, qui a changé son nom en « Union des musulmans de France » en 2018.

Le Centre a demandé d’assécher les sources de l’organisation et de l’obliger à se conformer aux lois de l’Etat américain, et de dissoudre ses associations financées de l’extérieur de manière illégale, et d’expulser ses éléments spécialisés dans les opérations de recrutement, en faisant pression sur les pays qui le financent comme la Turquie et le Qatar pour faire cesser cela.

 

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