Avec des financements qataris et l’attribution de fausses déclarations, les mouches électroniques des Frères attaquent Abdelrahim Ali

Récemment encore, le groupe des Frères a à nouveau tenté d’attaquer le parlementaire Abdelrahim Ali, en diffusant de fausses déclarations de lui et en prétendant qu’il s’agit des siennes et qu’elles ont été faites dans les coulisses de l’émission al-Sondouq al-Assouad

(La Boîte noire) qu’il présentait sur la chaîne satellite al-Qahira wa al-Nas.

Or, le parlementaire a expliqué que le groupe des Frères avait utilisé l’application Lyrebird qui modifie les voix pour diffuser de fausses déclarations de nombre de politiciens égyptiens un jour avant le début des élections parlementaires en Egypte, de façon à ébranler la confiance des Egyptiens dans des personnalités nationalistes.

Il a ajouté que Lyrebird avait été lancée en 2018, tandis que le groupe prétend que Abdelrahim Ali a utilisé l’application pour révéler la trahison des dirigeants du groupe lors de l’émission al-Soundouq al-Assouad, ce qui prouve que ses accusations sont fausses, puisque cette émission s’est interrompue en 2016, tandis que l’application a été lancée en 2018.

A de nombreuses occasions, Abdelrahim Ali a démasqué la nature terroriste du groupe des Frères, qui se cache derrière des allégations de modération, et il a réussi à révéler ses liens avec d’autres organisations terroristes comme Daech et al-Qaïda, en mettant en garde l’Europe contre

les buts hégémoniques de l’organisation des Frères qui tente de s’implanter dans le Vieux Continent pour répandre l’extrémisme dans les rangs des jeunes.

Les efforts du président du Centre d’études du Moyen-Orient à Paris ont ainsi contribué à modifier la position de ces pays vis-à-vis du groupe, certaines l’ayant classé comme « groupe terroriste ».