Des victimes du terrorisme poursuivent des institutions qataries importantes pour avoir blanchi de l’argent aux Etats-Unis afin de financer le terrorisme.
Aujourd’hui, un procès important a été intenté contre les principales institutions qataries par des victimes américaines du terrorisme. Les victimes américaines des attaques terroristes du Hamas et du Jihad islamique palestinien en Israël ont découvert que ce sont des banques qataries, Masraf al Rayan et la Banque nationale du Qatar, en collaboration avec Qatar
Charity, une organisation caritative qatarie interdite en Israël pour son financement du Hamas, qui ont blanchi secrètement de l’argent à travers le système financier américain pour le faire parvenir à ces deux organisations terroristes.
Le Hamas et le Jihad islamique palestinien ont utilisé le soutien financier de ces institutions qataries pour tuer et mutiler des Américains vivant en Israël ou en visite, y compris Taylor Force. En 2018, le président Trump a signé le Taylor Force Act pour empêcher les fonds américains d’aller à l’Autorité palestinienne si elle continuait à verser les « paiements destinés aux martyrs » à ceux qui attaquent des innocents. Ce procès révèle une pratique connexe et encore plus pernicieuse : l’utilisation illégale du système financier américain pour faciliter les attaques contre les Américains, y compris Taylor Force lui-même.
Masraf al Rayan et la Banque nationale du Qatar ont également fourni des services bancaires aux dirigeants du Hamas opérant à l’extérieur du Qatar. Ces institutions privées qataries, bien que contrôlées par la famille royale qui occupe leurs conseils d’administration et leurs postes de direction, sont privées et ne sont donc pas à l’abri de poursuites pour leurs activités de financement du terrorisme.