Publié par CEMO Centre - Paris
ad a b
ad ad ad

Le Centre d’études du Moyen-Orient se félicite de l’interdiction du Hizbollah et demande à l’Allemagne de faire face à toutes les organisations terroristes et à leur tête les Frères musulmans

vendredi 01/mai/2020 - 10:34
La Reference
طباعة
Le Dr Abdelrahim Ali, député au Parlement égyptien et président du CEMO, a salué la décision du gouvernement allemand d’interdire les activités du Hizbollah chiite libanais sur son territoire. Il a affirmé dans un communiqué de presse que le CEMO appelle depuis longtemps à interdire les organisations terroristes étant donné leur donné leur danger pour l’Allemagne en particulier et l’Europe et le monde en général, par le biais des colloques, études et rencontres avec les responsables occidentaux concernés, affirmant l’importance de cette décision dans le cadre des efforts de lutte contre le terrorisme, aux niveaux local et international. Le Centre a demandé à l’Allemagne et à la communauté internationale de prendre une décision similaire avec les autres organisations terroristes et à leur tête le groupe des Frères musulmans, pour préserver la sécurité et la paix internationales, et protéger le monde contre le danger du terrorisme. Le ministre allemand de l’Intérieur Horst Seehofer a confirmé il y a quelques heures la décision d’interdire au Hizbollah libanais d’avoir des activités dans le pays, et suite à la décision, la police a perquisitionné dans 4 mosquées et organisations de Berlin, Dortmund, Münster et Brême, soupçonnées d’avoir des liens avec le Hizbollah. Notons qu’il y a sept ans, en 2013, le Dr Abdelrahim Ali, président et rédacteur en chef d’al-Bawwaba News, avait lancé une campagne internationale pour interdire l’activité du groupe des Frères au niveau international, et le considérer comme organisation appelant à la violence et au terrorisme, et depuis le lancement de l’initiative et jusqu’aujourd’hui, des pays arabes et non arabes ont interdit les activités du groupe chez eux et ont remis certains de ses membres recherchés à la justice égyptienne. Et de nombreux autres pays étudient le dosser du groupe et ses antécédents criminels pour traiter avec lui, tandis que des centaines de personnalités politiques et d’organisations internationales et de partis européens demandent d’interdire le groupe et ses activités à cause de son danger pour la paix mondiale.
"