Le Centre d’études du Moyen-Orient à Paris accuse le régime qatari de torturer ses opposants dans les prisons
Le Dr Abdelrahim Ali, membre du Parlement égyptien et président du CEMO, a demandé au régime qatari terroriste représenté par Tamim ben Hamad de libérer rapidement le Cheikh Talal Al Thani, d’autant plus que de nombreux membres du pouvoir en place au Qatar sont des opposants aux politiques de Tamim ben Hamad, qui forge des accusations contre tous ceux qui s’opposent à lui et l’héritage de Cheikh Talal au Qatar rembourse les sommes prétendues et plus encore. Ali a fait assumer au régime de Tamim, dans un communiqué publié aujourd’hui, l’entière responsabilité de la santé de Cheikh Talal Al Thani, surtout que son épouse a affirmé qu’il est détenu depuis 7 ans dans de mauvaises conditions et est exposé dans sa prison au Qatar à la torture et aux mauvais traitements, et que les autorités qataries empêchent sa famille de rentrer en contact avec son mari. Par ailleurs, elle a ajouté qu’aucune accusation n’a été retenue contre lui, bien qu’il soit emprisonné depuis 7 ans, et que les autorités refusent de le soumettre à un jugement équitable. Elle a aussi demandé au Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l’homme d’intervenir. Le Dr Abdelrahim Ali a ajouté que
le régime qatari dirigé par Tamim ben Hamad poursuivait ses exactions contre ses opposants, et à leur tête Talal Al Thani, neveu de Tamim, qui a été emprisonné pour avoir refusé les politiques de Doha de soutien à l’extrémisme et au terrorisme dans la région, outre le fait qu’il est soumisà des mauvais traitements en prison, ce qui confirme la politique suivie par Tamim et son régime contre tous ceux dans le mouvement d’opposition au régime qui le critiquent ou s’opposent à lui. D’autre part, la contestation contre le régime augmente à l’intérieur du Qatar après qu’il eut détruit délibérément et intentionnellement nombre de pays arabes dont la Syrie et la Libye, et des membres de la famille régnante ont quitté le pays et se sont installés à l’étranger à cause de l’occupation turque du Qatar et de l’augmentation de la corruption financière et administrative.
