Le Qatar récolte maintenant les fruits de ses politiques anti-arabes plantées en raison de sa collusion financière et politique à destination de Téhéran et d'Ankara, qui a mené à la fuite des investisseurs, selon un reportage diffusé par la chaîne "Mubasher Qatar" le mercredi 1er avril 2020. Ladite émission confirme que le "régime Hamdeen" pratiquait des aventures inexpliquées en soutenant le terrorisme et finançant l'organisation internationale des Frères musulmans, ce qui a engendré de grands risques pour l'économie qatarie. Celle-ci souffrait de l'effondrement total du marché immobilier à un taux mensuel de 30% et à un taux annuel dépassant 16% en plus de l'escalade des pertes sur le marché boursier local.
Un rapport publié par l'agence de notation de crédit Fitch le mercredi 1er avril 2020, prédit que l'économie qatarie entrerait dans le cycle de déflation cette année, avec l'impact négatif attendu de l'émergence du Coronavirus.
Le reportage indique que l'économie qatarie se contracterait d'environ 2% cette année, et cela après une croissance modeste d'environ 0,6% l'an dernier.
Cet effondrement se serait reflété dans la capacité du Qatar à contrôler les répercussions de la propagation du Covid-19, qui aurait conduit à l'incapacité du régime à faire face à la situation interne en plus de faire face aux étrangers et aux Arabes bloqués dans le pays, et ce pour la mise en œuvre du plan d'évacuation des Bahreïnis bloqués au Qatar.
La propagation du virus
Une estimation publiée par Amnesty International a confirmé que les autorités qataries avaient violé les instructions de l'Organisation mondiale de la santé concernant les personnes vivant avec l'épidémie meurtrière et les travailleurs migrants qui travaillent dans un environnement qui faciliterait la transmission du virus. Cela aurait entraîné la propagation de «Corona» dans tout le pays, portant le nombre de cas à 693 cas confirmés jusqu'au premier avril 2020.
Réduire l'emploi dans les aéroports
Avec le virus meurtrier envahissant le pays, la vulnérabilité du système économique qatari à la situation sur le terrain est apparue, et malgré l'insistance de Doha pour que les choses soient toujours sous contrôle, le régime privilégie toujours le profit plutôt que l'intérêt du citoyen et de l'expatrié.
Ledit reportage indique que Qatar Airways aurait subi de lourdes pertes dues au virus et aurait recouru à la réduction de l'emploi pour réduire les coûts dans cette circonstance, frappant les concepts de solidarité sociale.
L’évacuation des Bahreïnis coincés dans des aéroports du Qatar a révélé l’impact de la situation économique sur les aéroports et les faibles précautions prises en matière de soins de santé. Cela aurait incité Sheikh Khalid bin Ahmed, le conseiller du monarque bahreïni pour les affaires diplomatiques et ancien ministre bahreïni des Affaires étrangères, à critiquer la politique du Qatar concernant les citoyens bahreïnis bloqués, en particulier ceux en provenance de Téhéran.
Ibn Ahmad a déclaré dans une série de Twitte que «Bahreïn avait organisé l'évacuation de ses citoyens bloqués en Iran en organisant des vols spéciaux directement de l'aéroport de Mashhad à l'aéroport de Bahreïn en respectant toutes les précautions de sécurité et de santé requises.