L'appui de Tamim au terrorisme sert à l’effondrement de la Bourse qatarie
Le secteur bancaire qatari a été témoin de plusieurs crises, dont la baisse
des liquidités en devises étrangères, l’interruption de la production de
certaines sociétés par actions inscrites en Bourse, et la chute des profits
nets des sociétés inscrites, ce qui a provoqué l’effondrement de l’économie.
Cela suite aux politiques erronées de la Banque centrale qatarie, et à l’emploi
des ressources de l’Etat dans le soutien aux groupes terroristes de divers
pays.
Vingt sociétés, soit près de la moitié des sociétés inscrites en Bourse, n’ont
fourni aucune information financière en 2019, avant de commencer à publier
leurs pertes sur leurs sites officiels. La société Qatar lil Asmant a ainsi
décidé de fermer ses deux usines numéros 4 et 5 depuis le début de l’année, et
une société médicale a déclaré des pertes de 2,85 millions de dollars, des
pertes dans les cours des actions, une baisse des profits nets de la société
holding de 5,6%, en conseillant de ne pas faire de distribution des profits. Et
la société de services financiers Dalala a ajourné sa déclaration.
De
même, le rendement des actions de nombre de sociétés par actions a baissé,
comme pour la Société islamique holding, passant de 0,0074 en 2018 à 0,0070 en
2019, ou la société al-Ri’aya. De même pour toutes les sociétés industrielles :
al-Tahwila, al-Asmant et al-Mustasmirin, ainsi que la société d’immobilier
al-Muttahida et de transport Makhazin.
Les
indicateurs de la Banque centrale qatarie indiquent la baisse de la part de
capital de 10,1% en 2018 à 9,9% en 2019, et des prêts de 3% à 2,2%.
Le
déficit de devises étrangères dans les banques a atteint 23,2 milliards de
dollars en 2018, selon la Banque centrale du Qatar, et les recettes en devises
ont diminué.
Selon le rapport de la Bourse qatarie du 6 février dernier, sur les pertes
et profits nets des sociétés inscrites (46) jusqu’au 31 décembre 2019,
plusieurs sociétés n’ont présenté aucune information sur leurs résultats
financiers.
Ainsi,
dans le secteur bancaire et des services financiers, 3 sociétés n’ont présenté
aucune information sur leurs résultats : KFC, Dalala et la société de Qatar et
d’Oman. Dans le secteur des biens de consommation, six sociétés n’ont fourni
aucune information sur leurs transactions financières : Zad, Al-Tibbiya, Dam,
Majmae al-Manaei et Baladna.
Dans
le secteur industriel, on en compte cinq : al-Tahwila, al-Asmant, al-Kahrabaa
wa al-Mal, al-Aemal, et Istismar Holding. Dans le secteur des assurances,
aucune des cinq sociétés inscrites en Bourse n’a fourni ses transactions
financières en 2019, sauf Qatar lil Taamin. Dans l’immobilier, deux sociétés :
Barwa et Azdan, dans les télécommunications : Ooredoo, et les deux sociétés de
transport Al-Malaha et Naqilat.