Quand Erdogan menace l'Europe en poussant "les réfugiées daéchiennes" à y immigrer
vendredi 20/mars/2020 - 10:01
"Une bombe à retardement". Ainsi peut-on qualifier les milliers d'immigrants dont grouillent les frontières gréco-turques et dont le nombre atteint environ 142 mille personnes et qui ne font qu'attendre l'autorisation d'entrer sur le territoire grec.
Leur impact ne se limite donc pas aux seules charges économiques, mais s'étend à la sécurité du pays, d'autant plus qu'il y a des éléments extrémistes qui vont exploiter l'occasion pour répandre leur extémisme et propager leur terrorisme dans la société européenne.
Ce nombre colossal d'immigrants porte en son sein "une catastrophe" que réprésentent les éléments féminins notamment d'Irak et de Syrie, vu que certaines parmi elles ont la tête bourrée d'idées extrémistes par les organisations terroristes, car on les utilise comme armes pour transformer l'Europe en un foyer d'extrémistes.
Les femmes et les enfants constituent 40 % du total des migrants irréguliers sur la frontière grecque, à la date du dimanche 8 mars 2020, selon les déclarations de la porte-parole du Fonds des Nations Unies pour l'enfance (UNICEF), ajoutant que les Syriens et les Irakiens constituent le taux le plus élevé parmi les immigrés .
En effet, le danger de ces femmes immigrées réside dans ce qu'elles portent d'idées extrémistes, en particulier les immigrées syriennes et irakiennes, étant donné qu'elles sont exploitées par les organisations terroristes pour recruter en leur sein des femmes européennes.
Il importe de noter que les femmes jouent divers rôles dans les groupes terroristes, entre autres comme des recrues, des exécutantes d'opérations terroristes, et des propagandistes d'idéologie terroriste.
