Al-Wefaq « pompe » la fortune du peuple libyen dans les veines de l'économie turque
Les scandales du gouvernement libyen Al-Wefaq semblent être sans fin. Les faits soutiennent et démontrent la vision de l'Armée nationale libyenne et de ses dirigeants en répondant aux demandes populaires et tribales pour aider à arrêter les saignements du pétrole libyen, qui était sous l'emprise d’Al-Wefaq, en particulier après que son président, Fayez al-Sarraj, soit venu en aide à Recep Tayyip Erdogan, son allié qui est effondré économiquement.
Et la presse a annoncé dimanche 9 février que le gouvernement Al-Wefaq avait injecté 4 milliards de dollars dans la trésorerie de la Banque centrale turque, malgré les souffrances des Libyens en raison de la rareté des fonds et des liquidités, qui ont diminué au cours des derniers mois.
Le chef du comité de crise de liquidité de la Banque centrale de Libye à Al-Bayda, Ramzi Rajab Al-Agha, a révélé que la banque avait transféré 4 milliards de dollars de ses réserves de trésorerie à la Banque centrale turque à titre de dépôt.
Al-Agha a expliqué que ce dépôt devait augmenter les réserves de la Banque centrale turque en devises, ce qui devait avoir un impact positif sur la stabilité du taux de change de la livre turque, selon lui. Ledit dépôt devrait également servir de garantie des accords conclus entre la partie turque et le gouvernement de conciliation en matière de transactions d'armes.
Selon le journal « Al Arab » basé à Londres, le chef du comité de crise de liquidité à la Banque centrale de Libye à Al-Bayda a déclaré que ce dépôt serait une garantie des coûts de traitement des miliciens blessés, ainsi que la récupération des droits des entreprises turques qui ont des contrats de moult projets en Libye pendant la période de règne de Mouammar Kadhafi et dont le payement avait cessé d’être honoré
Le 18 janvier, la Libyan National Oil Corporation à Tripoli a annoncé que la production de pétrole était passée de 1,2 million de barils par jour à 32 000 barils par jour, indiquant que la production de pétrole avait chuté de 75%, suite à la fermeture des principaux ports pétroliers de l'est de la Libye.
Il semble que l'extravagance du gouvernement d’Al-Wefaqpuisse mettre fin à son existence et à ses milices, car ses dépenses sont effectuées par les deniers publics pour amener des mercenaires à combattre dans ses rangs.