Mort de Mohammad Jaafar Husseyni, chef de la Liwa Fatimiyoun (Brigade des Fatimides)
Des rapports iraniens ont révélé la mort du chef de la Brigade afghane des Fatimides, Mohammad Jaafar Husseyni (Abou Zaynab), aujourd’hui samedi, dans un hôpital de Téhéran, à la suite d’une opération chirurgicale pour des blessures graves provoquées par un missile deux ans plus tôt en Syrie.
Mohammad Jaafar al-Husseyni (36 ans) faisait partie, avant de rejoindre la Brigade, des émigrés afghans activistes dans le domaine culturel, et il avait joué un rôle important dans la formation de ces émigrés et le renforcement des capacités des étudiants afghans en Iran.
Notons que la Brigade des Fatimides a été créée par l’Afghan Ali Rida Tawassouli – tué en 2015 en Syrie –, et a commencé comme une faction armée dépendant des Gardiens de la révolution iranienne.
Les réfugiés afghans en Iran, dont la majorité souffrent de la pauvreté, ont ainsi été appâtés par le salaire qu’il leur était proposé en tant que combattants dans la Brigade – environ 500 dollars mensuels, et le nombre de ceux qui l’ont rejointe est évalué à quelque 14000 combattants – sur 440000 réfugiés au total.
Par ailleurs, de nombreux rapports des organisations des droits de l’homme ont enregistré des violations fréquentes de ces droits de la part de la Brigade, ses membres ayant brûlé les maisons de l’un des quartiers de la ville de Tadmor dans la campagne est Il a combattu en Syrie et est mort en Iran : la mort de Mohammad Jaafar Husseyni, chef de la Liwa Fatimiyoun (Brigade des Fatimides)
Ali Ragab
Des rapports iraniens ont révélé la mort du chef de la Brigade afghane des Fatimides, Mohammad Jaafar Husseyni (Abou Zaynab), aujourd’hui samedi, dans un hôpital de Téhéran, à la suite d’une opération chirurgicale pour des blessures graves provoquées par un missile deux ans plus tôt en Syrie.
Mohammad Jaafar al-Husseyni (36 ans) faisait partie, avant de rejoindre la Brigade, des émigrés afghans activistes dans le domaine culturel, et il avait joué un rôle important dans la formation de ces émigrés et le renforcement des capacités des étudiants afghans en Iran.
Notons que la Brigade des Fatimides a été créée par l’Afghan Ali Rida Tawassouli – tué en 2015 en Syrie –, et a commencé comme une faction armée dépendant des Gardiens de la révolution iranienne.
Les réfugiés afghans en Iran, dont la majorité souffrent de la pauvreté, ont ainsi été appâtés par le salaire qu’il leur était proposé en tant que combattants dans la Brigade – environ 500 dollars mensuels, et le nombre de ceux qui l’ont rejointe est évalué à quelque 14000 combattants – sur 440000 réfugiés au total.
Par ailleurs, de nombreux rapports des organisations des droits de l’homme ont enregistré des violations fréquentes de ces droits de lae Mohammad Jaafar Husseyni, chef de la Liwa Fatimiyoun (Brigade des Fatimides)
Ali Ragab
Des rapports iraniens ont révélé la mort du chef de la Brigade afghane des Fatimides, Mohammad Jaafar Husseyni (Abou Zaynab), aujourd’hui samedi, dans un hôpital de Téhéran, à la suite d’une opération chirurgicale pour des blessures graves provoquées par un missile deux ans plus tôt en Syrie.
Mohammad Jaafar al-Husseyni (36 ans) faisait partie, avant de rejoindre la Brigade, des émigrés afghans activistes dans le domaine culturel, et il avait joué un rôle important dans la formation de ces émigrés et le renforcement des capacités des étudiants afghans en Iran.
Notons que la Brigade des Fatimides a été créée par l’Afghan Ali Rida Tawassouli – tué en 2015 en Syrie –, et a commencé comme une faction armée dépendant des Gardiens de la révolution iranienne.
Les réfugiés afghans en Iran, dont la majorité souffrent de la pauvreté, ont ainsi été appâtés par le salaire qu’il leur était proposé en tant que combattants dans la Brigade – environ 500 dollars mensuels, et le nombre de ceux qui l’ont rejointe est évalué à quelque 14000 combattants – sur 440000 réfugiés au total.
Par ailleurs, de nombreux rapports des organisations des droits de l’homme ont enregistré des violations fréquentes de ces droits de la part de la Brigade, ses membres ayant brûlé les maisons de l’un des quartiers de la ville de Tadmor dans la campagne est de Homs, et torturé et enlevé certains de ses habitants, en particulier dans les zones sunnites.