Pour empêcher la production de la National Oil Corporation (NOC) de flancher, le gouvernement de Fayez al-Sarraj met la main à la poche, et l'addition va rapidement se chiffrer en milliards de dollars.
Malgré la crise politico-militaire, le gouvernement libyen s’évertue à soutenir la production pétrolière, qui frôle 1,3 million de barils par jour (b/j) contre 1 million en octobre 2018.