Publié par CEMO Centre - Paris
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A la seconde partie de l'émission "Cheikh Al Hara" : Dr Abdelrahim Ali, un fidèle témoin sur l'époque

jeudi 24/mai/2018 - 05:50
La Reference
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Le directeur du  Centre des études du Moyen-Orient (CEMO),  PDG et rédacteur en chef d'Al-Bawaba, Dr Abdelrahim Ali a souligné qu'il était contre la suspension de tout homme de médias parce qu'il estime que "la sélection de ces personnes doit être une mission sociétale". "J'étais le premier à appeler à suspendre les émissions qui manipulent les valeurs et les normes de la société... nombreuses sont-elles.", a-t-il confié.

A une question sur s'il était le président de la République, que va-t-il faire? Dr Abdelrahim Ali a répondu que s'il était Président, il aurait fixé un impôt progressif sur les revenus et qu'il aurait émis la loi sur les pensions de retraite et développé l'enseignement technique. Il aurait fait de son mieux pour que l'Egypte remporte la Coupe du monde.

Par ailleurs, Abdel Réhime a souligné qu'il est contre tout journaliste qui fait publier de fausses informations ou met des désinformations. Il a ensuite énuméré les meilleurs journalistes sur la scène médiatique dont entre autres, Makram Mohamed Ahmed, Hamdi Rezk et Khaled Salah.

"je ne reçois aucune directive de n'importe quel instance en présentant mon émission et je ne me soumets à  de pareils ordres. C'est ma conscience journalistique qui me guide toujours", a indiqué Dr Abdelrahim.

Ensuite, il a révélé que l'ancien conseiller Hicham Barakat lui avait promis de se venger pour le sang des martyrs et lui avait demandé de ne pas ouvrir le procès numéro 250, relatif aux "financements étrangers" et à "l'espionnage" dont il est un principal témoin.  "Pour l'intérêt suprême de l'Etat, j'ai accepté en cette période si critique de l'histoire du pays", a-t-il noté, tout en assurant que cette affaire porte dans ses replis des  réconciliations politiques avec nombre de pays.

Et de renchérir que l'Egypte s'engage dans un combat d'existence "be or not to be" comme a dit le président Al Sissi, notant qu'il n'y pas de temps à perdre ni dans les combats de "paroles" ni dans lesdémonstrations parlementaires.

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