Abdelrahim Ali ouvre tous les dossiers chauds à l'émission " Cheikh El Hara"

Le directeur du Centre des études du Moyen-Orient (CEMO), PDG et rédacteur en chef d'Al-Bawaba Abdelrahim
Ali a été l'hôte de l'émission "Cheikh El Hara" sur la chaîne
"Al-Qahéra wal Nas". Abdelrahim Ali n'a pas hésité d'ouvrir tous les
dossiers chauds relatifs à plusieurs questions, adoptant le langage de la
franchise et de la transparence.
Au début de l'émission, il a reconnu "être fautif" , lorsqu'il a recommandé la démission du
ministre de l'Intérieur après les attentats terroristes perpétrés contre les églises
de Tanta et d'Alexandrie, assurant que "son ardeur" et sa ferveur en
tant que citoyen a prévalu à son enthousiasme de journaliste. Il a également confirmé qu'il ne viole pas la vie
privé des citoyens puisque possédant près de 19 verdicts portant innocence des
accusations adressées à son encontre en ce sens.
Quant au sujet des médias, Dr Abdelrahim Ali a mis en garde contre
l'intervention des hommes d'affaires soit à la politique soit aux médias, mettant,
à cet effet, l'accent sur la nécessité de l'intervention de l'Etat pour séparer
entre les intérêts personnels et ceux de la patrie.
Evoquant la Révolution du 25 janvier, le directeur du CEMO a assuré que
cette révolution fait défaut d'une véritable force pouvant la guider dans le
bon sens. Mais, ce sont les traitres et les déloyaux qui les ont poussée dans
un sens inverse.
D'autre part, Abdelrahim Ali a souligné qu'il était contre la candidature
du général Ahmed Chakiq et de Sami Anan, puisque considérant que ce fait
porterait, en ce temps, atteinte à l'Etat égyptien ainsi que pour épargner à
l'Egypte de tomber dans le piège des conspirations et des fraudes des
élections.
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