La défaite des Houthis, l'échec de l'idéologie iranienne et de l'exportation du cauchemar des mollahs
La victoire de l’armée de la coalition arabe contre la
milice terroriste, les milices houthies continuent à accuser des défaites
cuisantes. La dernière en date a été l'assassinat de 22 soldats houthis lors de
violents affrontements avec les forces conjointes de la province de Hodeidah, à
l'ouest du Yémen, au cours des dernières 24 heures.
La libération de Baqam à Saada et d'autres villes est un
fait. Dans ce cadre, le ministre yéménite de l'Information, Mouammar Al-Iryani,
a affirmé que les milices Houthies continuaient à faire escalader l’insécurité
dans la la ville de Hodeidah au lieu de continuer à mettre en œuvre leurs
obligations de l'accord de retrait conclu en Suède.
Il a souligné que les milices houthies, au lieu de
s'acquitter de leurs obligations découlant de l'accord conclu en Suède et du
retrait de Hodeidah et de ses ports, continuaient d'intensifier les opérations
militaires et que leurs dirigeants lançaient des menaces contre le peuple
yéménite et les pays de la coalition pour soutenir la légitimité. Yémen après
que les rapports des Nations Unies aient révélé que les mollahs fournissent à
la milice des armements, notamment les mines et les missiles balistiques, qui ajoute
aux crimes commis par l'Iran contre la communauté internationale.
La stratégie iranienne visant à lier les mouvements
d'influence politique chiites d'autres pays a échoué. Teheran s’est tourné vers
le soutien politique et militaire à Hezbollah au Liban dirigé par Cheikh
Hussein Fadlallah, le Conseil suprême de la révolution islamique en Irak
(SCIRI) dirigé par Muhammad Baqir al-Hakim à l'époque.
La stratégie iranienne reposait sur son soutien aux
mouvements chiites du Golfe Persique et du Moyen-Orient, ce qui lui conférait
le droit d'intervenir dans les affaires intérieures d'autres pays sous prétexte
de soutenir les opprimés et les plus vulnérables du pays.
Le rapport du Congrès américain publié l'année dernière a
jeté un regard rapide sur les outils utilisés par l'Iran pour appliquer sa
politique de relations avec les pays du monde en général et le Moyen-Orient en
particulier, par le biais de la diplomatie, des fonds, des armes et des forces.
L'un des principaux instruments utilisés par l'Iran dans ce domaine est matérialisé
par "les Gardiens de la révolution iraniens. "
La publication américaine décrivait les relations de
l'Iran avec un certain nombre de pays moyen-orientaux à la lumière des conflits
de cette époque, tels que les relations de l'Iran avec la Syrie et l'Irak, en
particulier pendant la période de conflit et de guerre et l'émergence des organisations
terroristes telles que Daech.
Le Congrès américain a dans son rapport fait état des
relations de l'Iran avec un certain nombre de pays notamment l’Arabie Saoudite.
Certaines actions de Téhéran par le passé ont provoqué plusieurs affrontements
entre les deux pays.