Les “Soeurs” avant et après juin 2013: des terroristes sur le terrain, et des comités électroniques sur les medias sociaux
jeudi 19/août/2021 - 06:44
Après la révolution du 30 juin 2013, les Frères musulmans se sont appuyés sur l’élément féminin dans les manifestations et ils ont réussi à les utiliser le mieux possible, pour répandre le chaos.
Ils se sont appuyés aussi sur elles dans les manifestations après la dispersion des sit-ins de Rabia Adawiya et Nahda et les femmes dirigeaient des chaînes humaines pour couper les routes.
A la fin 2013, un groupe composé de femmes des Frères ont exprimé le désir de former une ligue appelée “Ultras banates thawriya” comprenant les sympathisantes des Frères, dont le but était d’organiser des activités dans lesquelles elles allumaient des pétards, au milieu des manifestations.
L’organisation féminine des Frères est apparue dans de nombreux événements comme les manifestations d’al Mansoura de 2013.
Des enquêtes de la Haute cour de sûreté de l’Etat après 2013 ont révélé les rôles nouveaux des femmes terroristes, à travers le travail dans les comités électroniques qui visent à répandre des rumeurs, à diffamer les institutions de l’Etat et à répandre les seditions sur les sites des réseaux sociaux.
Les enquêtes ont révélé dans l’affaire numéro 485 de 2015 connue sous le nom de “comités électroniques et médiatiques de l’organisation internationale des Frères” où ont été accusées nombre de femmes des Frères dont Israa al Tawil, l’accord des chefs de l’organisation internationale des Frères en fuite à l’extérieur du pays pour reformuler les termes du plan de l’organisation à l’intérieur et à l’extérieur pour semer le chaos et inciter contre les organisations de l’Etat et les installations publiques.