Publié par CEMO Centre - Paris
ad a b
ad ad ad

Omar Erkat... le "faux médecin" qui a mis à nu les Frères en France

vendredi 03/août/2018 - 01:31
La Reference
طباعة

Les masques des Frères musulmans tombent l'un après l'autre, pour divulguer des visages laids et de grands scandales, récemment répandus dans toute l'Europe, et précisément en France. Celle-ci  paie le prix d'avoir accueilli des éléments fréristes radicaux.

Le site "Riposte Laïque" vient de publier un article abordant le dossier d'un faux-médecin, "Omar Erkat". Cela fait la grande surprise au sein des sphères françaises, vu les crimes qu'il avait commis et les scandales qui en ont découlé. "Riposte Laïque" titre : "Les infirmières du centre hospitalier de Nevers ont démasqué Omar Erkat."

Riposte Laïque était au Centre hospitalier de Nevers pour être à l'écoute des salariés.

L’histoire que nous vous racontons est vraie, authentique. Jeudi 26 juillet 2018, 20 heures : toutes les chaînes de télévision françaises font « la Une » sur le retour des touristes français et européens en Egypte. Avec un mot d’ordre qui revient trois ou quatre fois en quelques minutes : « Il n’y a plus de risque pour les touristes français, le pays est sécurisé ». C’est une évidence ! Car tous les Egyptiens dangereux, ont échappéen France ou en Europe, avec le statut de réfugiés politiques.

Et l’on retrouve ça et là quelques réfugiés politiques égyptiens, condamnés à de très lourdes peines de prison lorsqu’ils sévissaient au Caire, ayant déjà fait la Une des médias égyptiens, mais aussi de Riposte Laïque. De l’Ardèche au centre hospitalier de Nevers, en passant par Lyon et Strasbourg, l’un des plus emblématiques « réfugiés politiques égyptien », Omar El Katab Erkat, continue de sévir, souligne Riposte Laïque dans son enquête.

Celui qui aime se nommer « le professeur Erkat » apparaît dans les couloirs du centre hospitalier de Nevers. Omar Erkat vient de réussir « à se faire embaucher » dans le service pédiatrie du centre hospitalier de Nevers. Nathalie, une des infirmières témoigne : « En ce mois de juillet, avec mes collègues du service, nous avons vite compris que Omar Erkat n’avait aucune connaissance médicale en pédiatrie…. Il hurlait en arabe sur nos petits patients autistes, qui étaient terrorisés par cet homme ! ».

L’infirmière Nathalie poursuit son récit : « Avec mes collègues, nous avons mené une petite enquête qui a permis de démasquer cet homme. Omar Erkat était inconnu parmi les médecins Français, ou les équivalence de diplômes, ou même parmi les étudiants en médecine… En plein mois de juillet, nous avons fait part de nos doutes à la direction du CH Nevers, doutes qui complétaient les plaintes sur les drôles de méthodes utilisées par Omar Erkat auprès des petits patients autistes. Moins d’un mois après son arrivée, la direction du centre hospitalier de Nevers reconnaissait son erreur et congédiait le dénommé Omar Erkat ».

"